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Fréquences documentaires Format d’édition 22 cm × 22 cm ( fermé) 22 × 900 (ouverture maximale), 2020. Photomontages numériques sur tirages argentiques noir et blanc sur papier baryté, 28,7 × 39,5 cm. (1) Chaque lieu, époque et croyance sur Terre a droit à son folklore, ses contes et autres légendes. Lâcher prise l’instant d’une promenade peut nous conduire dans des endroits insoupçonnés de notre imagination. Ici, ce sont les aventures d’un journaliste de télévision des années 1960, qui à travers ses discours rythmés, nous faire voir d’une autrement certains lieux, habités par des figures fantastiques. L’ensemble se plie ou se déplie, dans cette impression en leporello où textes et images se suivent. Des images de monstres, divinités et autres esprits issus de l’inconscient collectif. Plus ou moins inscrites dans nos cultures, transmises de manière orale ou écrite, les chimères sont partout. Au Japon, elles portent le nom de Yôkai et c’est par le biais de la culture orale du milieu rural qu’elles ont survécu dans la mémoire collective. Elles sont là, mais on ne prend plus le temps de les voir. Pourtant, Joan Fontcurberta les a vu dans sa série Fauna, par l’intermédiaire d’images photographiques. Il prétend les avoir découvertes dans les archives du professeur Ameisenhaufen, un cryptozoologue allemand spécialisé dans l’étude des espèces animales rares, supposées disparues.
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Copyright © 2021 · Tous droits réservés · Anthony Visconti
Fréquences documentaires Format d’édition 22 cm × 22 cm ( fermé) 22 × 900 (ouverture maximale), 2020. Photomontages numériques sur tirages argentiques noir et blanc sur papier baryté, 28,7 × 39,5 cm. (1) Chaque lieu, époque et croyance sur Terre a droit à son folklore, ses contes et autres légendes. Lâcher prise l’instant d’une promenade peut nous conduire dans des endroits insoupçonnés de notre imagination. Ici, ce sont les aventures d’un journaliste de télévision des années 1960, qui à travers ses discours rythmés, nous faire voir d’une autrement certains lieux, habités par des figures fantastiques. L’ensemble se plie ou se déplie, dans cette impression en leporello où textes et images se suivent. Des images de monstres, divinités et autres esprits issus de l’inconscient collectif. Plus ou moins inscrites dans nos cultures, transmises de manière orale ou écrite, les chimères sont partout. Au Japon, elles portent le nom de Yôkai et c’est par le biais de la culture orale du milieu rural qu’elles ont survécu dans la mémoire collective. Elles sont là, mais on ne prend plus le temps de les voir. Pourtant, Joan Fontcurberta les a vu dans sa série Fauna, par l’intermédiaire d’images photographiques. Il prétend les avoir découvertes dans les archives du professeur Ameisenhaufen, un cryptozoologue allemand spécialisé dans l’étude des espèces animales rares, supposées disparues.
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Fréquences documentaires Format d’édition 22 cm × 22 cm ( fermé) 22 × 900 (ouverture maximale), 2020. Photomontages numériques sur tirages argentiques noir et blanc sur papier baryté, 28,7 × 39,5 cm. (1) Chaque lieu, époque et croyance sur Terre a droit à son folklore, ses contes et autres légendes. Lâcher prise l’instant d’une promenade peut nous conduire dans des endroits insoupçonnés de notre imagination. Ici, ce sont les aventures d’un journaliste de télévision des années 1960, qui à travers ses discours rythmés, nous faire voir d’une autrement certains lieux, habités par des figures fantastiques. L’ensemble se plie ou se déplie, dans cette impression en leporello où textes et images se suivent. Des images de monstres, divinités et autres esprits issus de l’inconscient collectif. Plus ou moins inscrites dans nos cultures, transmises de manière orale ou écrite, les chimères sont partout. Au Japon, elles portent le nom de Yôkai et c’est par le biais de la culture orale du milieu rural qu’elles ont survécu dans la mémoire collective. Elles sont là, mais on ne prend plus le temps de les voir. Pourtant, Joan Fontcurberta les a vu dans sa série Fauna, par l’intermédiaire d’images photographiques. Il prétend les avoir découvertes dans les archives du professeur Ameisenhaufen, un cryptozoologue allemand spécialisé dans l’étude des espèces animales rares, supposées disparues.
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Fréquences documentaires Format d’édition 22 cm × 22 cm ( fermé) 22 × 900 (ouverture maximale), 2020. Photomontages numériques sur tirages argentiques noir et blanc sur papier baryté, 28,7 × 39,5 cm. (1) Chaque lieu, époque et croyance sur Terre a droit à son folklore, ses contes et autres légendes. Lâcher prise l’instant d’une promenade peut nous conduire dans des endroits insoupçonnés de notre imagination. Ici, ce sont les aventures d’un journaliste de télévision des années 1960, qui à travers ses discours rythmés, nous faire voir d’une autrement certains lieux, habités par des figures fantastiques. L’ensemble se plie ou se déplie, dans cette impression en leporello où textes et images se suivent. Des images de monstres, divinités et autres esprits issus de l’inconscient collectif. Plus ou moins inscrites dans nos cultures, transmises de manière orale ou écrite, les chimères sont partout. Au Japon, elles portent le nom de Yôkai et c’est par le biais de la culture orale du milieu rural qu’elles ont survécu dans la mémoire collective. Elles sont là, mais on ne prend plus le temps de les voir. Pourtant, Joan Fontcurberta les a vu dans sa série Fauna, par l’intermédiaire d’images photographiques. Il prétend les avoir découvertes dans les archives du professeur Ameisenhaufen, un cryptozoologue allemand spécialisé dans l’étude des espèces animales rares, supposées disparues.
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